RADAR ROUTE DE TROMPE

Début janvier, un radar a été installé route de Trompe.
Voici quelques informations concernant l’implantation des radars, qui incombe aux préfectures.
Qui décide et finance l’implantation des radars ?
Les propositions d'implantation sont adressées à la Délégation de la Sécurité Routière (DSR) par les préfets de départements. La Direction de la Sécurité Routière étudie ensuite l’intérêt et la faisabilité technique de l'implantation puis procède à l'installation le cas échéant.
Ainsi, le niveau de dangerosité dues aux incivilités routières route de Trompe a été jugé suffisamment élevé dans ce quartier résidentiel de la ville et a donc amené les services de l’Etat en charge de la sécurité routière à y implanter un radar.
Les coûts d’installation et de l’appareil ne sont pas supportés par les communes. L’entretien et les réparations des radars sont financés par les recettes tirées des flashs de ces appareils.
Les amendes collectées pour excès de vitesse, comme toutes les amendes liées au non-respect du code de la route, ne vont pas dans la poche des communes. C’est l’Etat qui les collecte et en redistribue une partie aux régions, lesquelles en redistribuent une partie aux départements… qui eux-mêmes répartissent ce qui reste entre les différentes communes.
Vous l’aurez compris, en bout de chaîne ce montant est infime.
A Peyrehorade cette somme allouée annuellement est utilisée pour créer ou entretenir des aménagements pour améliorer la sécurité routière.
Voici quelques informations concernant l’implantation des radars, qui incombe aux préfectures.
Qui décide et finance l’implantation des radars ?
Les propositions d'implantation sont adressées à la Délégation de la Sécurité Routière (DSR) par les préfets de départements. La Direction de la Sécurité Routière étudie ensuite l’intérêt et la faisabilité technique de l'implantation puis procède à l'installation le cas échéant.
Ainsi, le niveau de dangerosité dues aux incivilités routières route de Trompe a été jugé suffisamment élevé dans ce quartier résidentiel de la ville et a donc amené les services de l’Etat en charge de la sécurité routière à y implanter un radar.
Les coûts d’installation et de l’appareil ne sont pas supportés par les communes. L’entretien et les réparations des radars sont financés par les recettes tirées des flashs de ces appareils.
Les amendes collectées pour excès de vitesse, comme toutes les amendes liées au non-respect du code de la route, ne vont pas dans la poche des communes. C’est l’Etat qui les collecte et en redistribue une partie aux régions, lesquelles en redistribuent une partie aux départements… qui eux-mêmes répartissent ce qui reste entre les différentes communes.
Vous l’aurez compris, en bout de chaîne ce montant est infime.
A Peyrehorade cette somme allouée annuellement est utilisée pour créer ou entretenir des aménagements pour améliorer la sécurité routière.